Chacun avait pianoté sur son clavier et réseauté de son côté. Et tous les dix s’étaient mis d’accord pour se réunir dans une auberge discrète et accueillante : le fil rouge de ces agapes était bien éloigné de l’image de comploteurs ou de complices agissant au sein d’une quelconque « main noire », comme de prime abord on eut pu le croire. Anciens compagnons de cordée, ils avaient tenu à se revoir après un long oubli, pour trinquer et chanter en chœur l’air « ô que la montagne est belle… », pas toujours harmonieusement certes mais avec chaleur et avec entrain , tout en égrenant leurs souvenirs de jouvenceaux découvrant l’edelweiss au petit matin.
Merci à André Buyse, Président de l'Union internationale de la presse francophone, aile belge
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